Vous souhaitez placer votre argent en bourse ? Vous recherchez des informations sur la manière d’acheter des actions ? En investissant dans des actions, vous apportez votre soutien financier à une entreprise pour l’aider à se développer. Ainsi, des projets voient le jour, des emplois sont créés, etc. En contrepartie de son capital versé, l’investisseur perçoit une partie de la richesse créée par l’entreprise sous la forme de dividendes. L’autre manière d’investir en bourse consiste à spéculer sur un horizon à court terme, afin de tirer profit des variations de leurs prix par l’intermédiaire de différents ordres de bourse. NEOFA vous explique comment acheter des actions, sur quelles actions miser, dans quel support les placer et à quel courtier s’adresser.

Les questions à se poser avant d’acheter des actions

Lorsque nous sommes à la recherche de placements plus rémunérateurs que les livrets d’épargne réglementés, acheter des actions peut être le bon choix. Le marché des actions comporte toutefois des risques. Les performances passées ne préjugent pas des performances à venir. Et en cas d’effondrement des marchés, vous pouvez perdre votre capital. D’où les questions à se poser avant d’investir :

  • Suis-je prêt à prendre des risques en investissant sur un marché qui connaît des soubresauts ?
  • Suis-je prêt à immobiliser de l’argent sur le long terme ?
  • Quelles actions acheter ?
  • De quel temps je dispose pour m’occuper de mon portefeuille ?

Il est possible d’acheter directement des actions ou par le biais de placements collectifs (comme les SICAV). Ces derniers comportent un portefeuille d’actions gérées par des professionnels.

Comment acheter des actions

Les démarches à réaliser sont relativement simples.

  1. Il convient de se rapprocher d’un intermédiaire financier (banque ou courtier en ligne).
  2. Il s’agit ensuite d’ouvrir un compte-titres, un plan d’épargne en actions (PEA) ou encore une assurance-vie pour les placements collectifs.
  3. Pour acheter vos actions, vous devrez passer un ordre de bourse à votre intermédiaire financier ou une demande de souscription s’il s’agit d’un placement collectif.

Attention à ne pas négliger les frais inhérents à ces placements et leur fiscalité.

Acheter des actions sur un compte-titres ou un PEA ?

L’objectif d’un compte-titres ordinaire et d’un PEA repose sur l’acquisition et la vente de titres financiers. Pour savoir lequel des deux privilégier, il faut notamment tenir compte des aspects fiscaux, des contraintes et des avantages de chacun.

Seul le PEA procure un avantage fiscal en vous obligeant cependant, à concentrer vos investissements quasi exclusivement dans des actions européennes.
Après 5 ans de détention, vos plus-values et dividendes sont exonérées d’impôts, par contre vous devez toujours vous acquitter des prélèvements sociaux. Il faut savoir que le PEA représente une enveloppe de capitalisation, en clair, si vous ne vendez pas, vous n’êtes pas fiscalisé.

A contrario, le compte-titres ne génère aucune restriction que ce soit en termes de localisation ou du choix des titres financiers. Vos gains sont taxés au Prélèvement forfaitaire unique (PFU), au taux de 30 % (17,2 % prélèvements sociaux et 12,8 % de Flat Tax). Cependant, vous pouvez opter pour le barème progressif d’imposition si votre tranche marginale d’imposition (TMI) est inférieure à 30 %. Cette option sera ainsi plus avantageuse pour vous. Sur un compte-titres, dès la perception de dividendes ou de plus-values sur cession, vous êtes imposable dans l’année.

Sachez qu’il est tout à fait possible de cumuler ces deux supports pour acheter des actions.

Le PEA pour acheter des actions européennes

L’avantage fiscal du PEA est conditionné par le fait que seules les actions européennes sont éligibles. Néanmoins, il est possible d’acheter des parts de fonds d’investissement et d’ETF au sein de votre PEA. S’ils sont, eux-mêmes, investis à hauteur de 75 % dans des actions européennes.

En sus des contraintes liées aux actions européennes, d’autres obligations vous incombent :

  • Le PEA est fermé si vous réalisez un retrait avant 5 ans ;
  • Il est possible de détenir un seul PEA par personne (deux par foyer fiscal) ;
  • Le plafond de versement est fixé à 150 000 euros.

Aller plus loin :

Le compte-titres pour acheter des actions internationales

Aucune restriction ne s’opère sur un compte-titres, vous pouvez investir dans l’ensemble des produits financiers suivants :

  • Des actions internationales ;
  • Des obligations ;
  • Des ETF d’actions et d’obligations internationales ;
  • Des produits dérivés (warrants, turbos, etc.) ;
  • Des fonds d’investissement ;
  • Des matières premières.
    La diversité des supports se révèle être très large.

Quelles actions acheter ?

Avant de vous jeter dans le grand bain, renseignez-vous sur le type d’actions que vous souhaitez souscrire. En effet, vous avez le choix entre l’acquisition d’actions en direct ou par le biais de placements collectifs, à l’instar des OPCVM et des ETF.

Acheter des actions en direct

Lorsque vous achetez des actions en direct, vous êtes seul maître à bord. Vous sélectionnez vous-même les actions et décidez du moment le plus opportun pour les acheter et les vendre.

Pour élaborer un portefeuille d’actions performant, il faut :

  • Le diversifier au maximum au travers d’un nombre important de lignes, en optant pour des entreprises de toute taille, de tout secteur d’activité et de toute zone géographique ;
  • Ne jamais se baser sur les performances passées d’une action. Il convient plutôt de réfléchir à vos investissements à partir d’une vision macro-économique. C’est-à-dire en prenant en compte le PIB, les chiffres de l’emploi, la production industrielle et l’inflation…

Ce procédé prend du temps et, de surcroît, il peut coûter excessivement cher, eu égard aux frais de courtage appliqués sur chaque action individuelle achetée.
Si vous recherchez une autre alternative, moins contraignante et moins onéreuse, l’achat d’OPCVM (Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières) pourrait davantage correspondre à vos attentes.

Investir dans les OPCVM

Pour vous libérer du temps et gagner en sérénité, la solution consiste à investir dans des fonds d’investissement, plus communément appelés des OPCVM (Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières). Ces derniers regroupent traditionnellement les SICAV (Sociétés d’investissement à capital variable) et les FCP (Fonds Communs de Placement). Ainsi, vous prenez part à un placement collectif constitué de plusieurs actions de différentes entreprises, dont la gestion est réalisée par un professionnel.

Si la gestion d’un portefeuille ne vous séduit pas, alors investir dans des OPCVM apparaît comme la solution idéale. En effet, par le biais de stratégies d’investissement, le gérant vous permettra de profiter des meilleures opportunités des marchés. Les OPCVM sont donc un excellent moyen de diversification, même en investissant un faible montant.

Investir avec des ETF

Les ETF (Exchanged Traded Funds) séduisent de plus en plus les investisseurs, car ces fonds d’investissement présentent de nombreux avantages. En premier lieu, les ETF répliquent un indice boursier. On peut d’ailleurs les acheter sur les marchés boursiers comme des actions.
Ensuite, il faut savoir qu’à travers un ETF, vous investissez dans des dizaines, voire des centaines d’entreprises en une seule fois, donc vous limitez les frais de gestion. Certains ETF internationaux sont également éligibles au PEA donc, en sus de maximiser votre diversification, vous optimisez votre fiscalité.

Passer un ordre de bourse

Un ordre de bourse consiste à acheter ou à vendre une action. Il existe plusieurs types d’ordres de bourse impactant soit le prix, soit le moment auquel l’ordre sera exécuté. Chaque typologie d’ordres permet de créer diverses stratégies d’investissement. Par exemple, certains vont privilégier le prix en retardant l’exécution, tandis que d’autres vont primer la rapidité d’exécution au détriment d’un prix plus élevé.

Ordre « au marché »

Ce type d’ordre est prioritaire sur les autres ordres de bourse. En achetant ou en vendant les actions « au marché », vous privilégiez la quantité de titres sans condition de prix. L’investisseur ne maîtrise aucunement le cours d’exécution, donc le risque demeure important sur des valeurs volatiles.

Ordre « à la meilleure limite »

Cet ordre ne comporte aucune indication de prix, il est exécuté à la meilleure offre (à l’achat) ou à la meilleure demande (à la vente).
À l’ouverture du marché, si la liquidité est suffisante, alors votre ordre est totalement exécuté. Dans le cas contraire, le solde de titres est transformé en ordre « à cours limité ».
En séance, le mode opératoire demeure similaire. En cas de liquidité insuffisante, l’ordre devient un ordre à cours limité au prix de la première négociation pour le solde de titres non encore exécuté.

Ordre « à cours limité »

L’ordre à cours limité consiste à fixer un prix maximum à partir duquel l’investisseur est prêt à acheter, ou un prix minimum auquel le client est disposé à vendre. L’ordre s’exécute à la condition que la limite de prix soit atteinte. Cela suppose donc que cette dernière soit fixée de manière réaliste. Si la liquidité est insuffisante lorsque la limite est atteinte, alors l’ordre ne peut être exécuté, ou seulement partiellement.

Ordre « à seuil de déclenchement »

L’ordre à seuil de déclenchement sert à limiter les pertes, il permet d’anticiper un revirement de tendance sur une valeur. Concernant un ordre de vente, l’investisseur vend si le marché baisse en dessous d’un seuil prédéfini en amont par ses soins. Une fois le seuil atteint, l’ordre est déclenché au même titre qu’un ordre au marché. Ce type d’ordre apparaît très risqué en présence de valeurs à forte volatilité.

Ordre « à plage de déclenchement »

Instauré en vue de limiter les pertes d’une valeur, l’ordre à plage de déclenchement sert à maîtriser le coût de votre opération. Par ce biais, l’investisseur fixe une deuxième limite en sus du seuil de déclenchement, en déterminant une limite au-delà ou en deçà de laquelle l’ordre ne pourra être exécuté.

Lorsqu’une limite est atteinte, un ordre à cours limité est envoyé sur le marché.

Les autres placements pour acheter des actions

Comment échapper à l’imposition des dividendes et des plus-values tout en investissant et en spéculant sur les marchés boursiers ? C’est très simple, il suffit d’utiliser les enveloppes fiscales disponibles à cet effet. Pour cela, il convient d’ouvrir soit :

  • Un PEA (et/ou un PEA-PME) ;
  • Une assurance-vie multisupport.

Nous vous détaillons, ci-dessous, les conditions d’exonération liées à chacun de ces supports.

PEA et PEA-PME

Il convient de différencier les deux versions disponibles d’un PEA :

  • Le PEA classique (bancaire ou assurance) ;
  • Le PEA-PME.

PEA

Sur un Plan d’épargne en actions (PEA), après 5 ans de détention, vous êtes exonéré d’impôt sur les actions et les fonds détenus. Pour rappel, le PEA permet de loger des actions d’entreprises de la zone Europe. Il peut également y avoir certains fonds à condition qu’ils soient investis au moins à hauteur de 75 % en actions européennes.
Les plus-values générées suite à vos ventes, et les dividendes perçus sont uniquement soumis aux prélèvements sociaux, à savoir 17,2 %.
En contrepartie, deux conditions doivent être respectées :

  • Ne pas effectuer de retrait partiel durant 5 ans minimum ;
  • Le montant des versements par personne est plafonné à 150 000 euros. Il est important de souligner que vos gains ne sont pas assimilés à des versements.

Les modalités de fonctionnement du PEA ont été assouplies depuis l’entrée en vigueur de la loi Pacte en mai 2019. Au préalable, tout retrait, même partiel, avant les 8 ans de détention, entraînait la clôture du plan. De surcroît, dès la prise en compte d’un retrait partiel, il n’était plus possible d’effectuer des versements. Aujourd’hui, les conditions de détention ont été abaissées à 5 ans, et les versements sont autorisés même après avoir effectué des retraits partiels à partir de la 5e année de détention.
La loi Pacte a également ouvert la possibilité aux jeunes âgés de 18 à 25 ans, d’ouvrir un « PEA jeunes ». Auparavant, un enfant majeur rattaché au foyer fiscal de ses parents n’avait pas la possibilité d’ouvrir un PEA. C’est aujourd’hui autorisé, en respectant un plafond de 20 000 euros, automatiquement relevé à 150 000 euros dès ses 25 ans.

PEA-PME

L’objectif du PEA-PME est de soutenir le financement des petites et moyennes entreprises, sans oublier celles dites de taille intermédiaire. L’éligibilité à ce plan requiert exclusivement des titres émis par des ETI et PME européennes. On retrouve également des parts de fonds investis à hauteur de 75 % minimum en titres émis par des ETI ou PME de la zone Europe.
Depuis la loi Pacte, le plafond de versements du PEA-PME est passé de 75 000 euros à 225 000 euros. Si vous détenez un PEA classique et un PEA-PME, le plafond des deux ne doit pas excéder 225 000 euros.

Bon à savoir :
Le fonctionnement et la fiscalité d’un PEA-PME sont identiques en tout point à celui d’un PEA classique.

L’assurance-vie

À l’exception du fonds en euros sur les contrats monosupport, les assurances-vie permettent d’investir dans des fonds d’actions au travers des contrats multisupports. Pour bénéficier d’une fiscalité avantageuse, il convient néanmoins d’investir durant 8 ans minimum. Ainsi, vous éviterez la Flat Tax de 12,8 % (ou l’impôt progressif sur le revenu).
Après 8 ans, chaque couple profite d’un abattement de 9 200 euros sur les gains (4 600 euros pour une personne seule). Au-delà, le surplus est taxé à 7,5 %.
Dans tous les cas, l’investisseur devra s’acquitter des prélèvements sociaux de 17,2 % (sauf cas particuliers des non-résidents fiscaux).
L’assurance-vie constitue donc un bon moyen de gommer l’imposition tout en investissant dans des fonds actions.

Acheter des actions via un courtier

Afin d’investir en bourse, vous devez nécessairement passer par un courtier, connu sous le terme “ broker “ en anglais. Ce dernier est non seulement chargé d’exécuter vos ordres de bourse, mais aussi de conserver vos titres et vos actions.

On retrouve différents types de courtiers en bourse :

  • Les généralistes permettant d’investir principalement dans des actions, des fonds d’investissement, des produits dérivés et des ETF ;
  • Ceux proposant un PEA, c’est-à-dire majoritairement les banques en ligne ;
  • Les spécialistes de trading en produits dérivés, jouant sur un fort effet de levier et cherchant à multiplier la mise de départ ;
  • Les spécialistes en cryptomonnaie.

Afin de profiter de frais modérés, il convient de vous tourner vers des courtiers internationaux offrant davantage de fonctionnalités.

liste des courtiers

Nous avons élaboré, pour vous, un récapitulatif non-exhaustif des courtiers en les classant par domaine de spécialisation. Ces derniers ont été sélectionnés afin de vous permettre d’investir votre épargne dans des actions ou fonds par le biais de compte-titres, PEA et assurance-vie.

Les courtiers généralistes :

Voici les 3 courtiers les plus généralistes sur lesquels vous pouvez investir vos actions :

  • Degiro : ce broker vous permet d’acquérir des actions françaises, européennes et mondiales sur plus de 30 places boursières internationales.
  • XTB et eToro : ces deux courtiers permettent d’acheter les actions des principales entreprises mondiales (Apple, Total, Microsoft, Tesla, etc.). Ils sont devenus populaires grâce à la gratuité de leur frais de courtage sur les actions, et même sur les ETF pour XTB. Dans la pratique, les débutants sont davantage séduits par l’interface d’eToro, tandis que les traders aguerris se tournent plutôt vers XTB.

Les courtiers pour le PEA

Voici quatre courtiers intéressants proposant d’investir vos actions et fonds au travers d’un PEA :

  • BforBank : cette banque en ligne, filiale du Crédit Agricole, propose différentes gammes de placements sur le compte-titres et le PEA. C’est la banque la plus compétitive en termes d’opérations boursières.
  • Bourse Direct : il s’agit du courtier le moins cher sur le PEA. En revanche, son positionnement tarifaire sur le compte-titres ne rivalise pas avec les courtiers étrangers.
  • Fortuneo : cette banque en ligne vous propose un compte-titres et un PEA, avec des frais légèrement plus élevés que BforBank. En revanche, l’interface de navigation est plus agréable.
  • Yomoni : cette Fintech, créée en 2015, a commencé par lancer un PEA et une assurance-vie, avant de se spécialiser dans la gestion pilotée. Cette dernière a boosté sa notoriété. Les frais sont réduits via l’intégration d’ETF.

Le risque d’acheter des actions sans un conseiller

Certains investisseurs envisagent de se lancer seuls dans l’aventure de la bourse. Cependant, il y a quelques erreurs à éviter lorsque vous achetez des actions, non épaulé par un conseiller financier.

Un investisseur novice peut, tôt ou tard, se trouver confronté aux problématiques suivantes :

  • Il achètera des actions à court terme de manière compulsive sans avoir de stratégie d’investissement à moyen, voire long terme ;
  • Il se laissera influencer par le comportement d’achat d’autres investisseurs, et se contentera de faire du mimétisme ;
  • Il oubliera de diversifier son portefeuille et investira dans un seul secteur d’activité, dans une seule classe d’actifs et une seule zone géographique ;
  • Il investira toutes ses économies au lieu de ne placer que l’argent dont il n’aura pas besoin durant une dizaine d’année ;
  • Il paniquera suite à la chute des marchés et vendra au plus mauvais moment ou, à l’inverse, achètera trop tôt.

Afin d’optimiser vos performances, sollicitez sans plus tarder, l’aide d’un expert financier pour vous accompagner au quotidien.

L’investissement en bourse nécessite, au préalable, d’élaborer une stratégie en adéquation avec votre profil de risque, mais aussi avec vos objectifs de vie. Ainsi, il axera ses conseils sur une enveloppe fiscale plutôt qu’une autre (PEA, assurance-vie) et sur certains supports d’investissement. Ses prérogatives reposent exclusivement sur l’atteinte de vos objectifs et de votre sensibilité au risque.

Pour être certain de ne pas commettre d’impair, consultez un expert NEOFA ! Ce dernier saura vous promulguer des conseils personnalisés, délivrés en toute transparence. Afin d’élaborer VOTRE stratégie d’investissement, inscrivez-vous sans plus tarder sur la plateforme NEOFA, car comme le dit lui-même Warren Buffett, « si vous ne connaissez pas les bijoux, connaissez le bijoutier ».

Finance 3

Alain Broyon
Auteur
Alain a plus de 20 ans d'expérience dans le secteur des services financiers. Diplômé de l'Université HEC Lausanne, il devient à 32 ans, le plus jeune PDG d'une banque suisse, Dukascopy Bank. Son principal domaine d’intervention est l’innovation dans les services financiers. Alain a développé différentes sociétés avec Nicolas, notamment Planet of Finance, Money-ID et maintenant Neofa. Ses principaux domaines d'intervention sont l'innovation et la numérisation des services financiers. Alain a travaillé 4 ans avec Nicolas en tant qu'associé dans Planet of Finance.
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