Cinq étapes pour analyser une action simplement, la baisse de l’immobilier se confirme, et les caractéristiques d’une banque dite systémique

Par Ruben Brami, Twenty-Six Patrimoine

???? Les news qui ont fait bouger les marchés cette semaine

  • UBS rachète Crédit Suisse

La situation était tellement catastrophique et dangereuse pour le système financier mondial, qu’il n’a fallu que quelques heures pour que UBS, le numéro 1, rachète avec l’aide de l’Etat le numéro 2, Crédit Suisse. « C’est le meilleur moyen d’assurer la confiance », a lancé le président de la Confédération helvétique, Alain Berset au cours d’un point de presse dimanche 19 mars en début de soirée à Berne pendant lequel il a annoncé l’accord. Le montant du rachat de Crédit Suisse s’élève à 3 milliards de francs suisses (3,02 milliards d’euros), payables en actions UBS, pour une banque qui en valait près du triple vendredi à la clôture de la Bourse. Le prix est certes intéressant mais en vérité, l’opération n’a aucun sens pour manque de synergie. C’est bien la preuve qu’il fallait surtout sauver la banque et éviter une panique financière

  • La Fed opte pour une hausse modérée de son taux

Dans une note publiée lundi dernier, les analystes de Goldman Sachs annonçaient prévoir que la Réserve fédérale ne relèv pas ses taux d’intérêt mercredi, contrairement aux attentes du marché. Erreur de la part de la banque américaine. La banque centrale américaine (Fed) a opté mercredi dernier pour une hausse modérée de son taux, d’un quart de point de pourcentage, comme attendu, toujours préoccupée par l’inflation, et malgré les turbulences sur le secteur bancaire, qui risquent de « peser » sur l’économie. Le principal taux directeur de la Fed se situe désormais dans une fourchette de 4,75 à 5,00%. Il est au plus haut niveau depuis 2006, et l’institution prévoit des hausses supplémentaires. 

  • Les banques voient rouge

Suite à la chute du Crédit Suisse et son sauvetage par UBS et la banque centrale suisse, les marchés sont une nouvelle fois secoués par la dégringolade de la Deutsche Bank (-8,53% vendredi). En effet, cette première banque allemande a subi une forte augmentation du coût d’assurance contre le risque de défaut de paiement, alimentant ainsi les craintes quant à la stabilité de l’ensemble de l’écosystème bancaire européen. Les inquiétudes quant à un effet domino s’intensifient, malgré une relative confiance des investisseurs, comme en témoigne la bonne tenue des marchés cette semaine. Cependant, la situation bancaire semble fragile et seul l’avenir pourra nous dire si ces perturbations ne sont que temporaires ou annonciatrices d’une crise plus importante.

????️ Le dossier de la semaine : comment analyser une action en cinq étapes ?

La recherche d’action d’entreprise dans laquelle investir peut être une tâche sans fin et n’est pas facile. Il existe une quantité infinie d’informations provenant d’un nombre illimité de sources. Afin de vous aider à faire du stock-picking, c’est-à-dire de la sélection d’action, voici une méthode suffisamment simple pour que tout le monde puisse l’utiliser. Voici la méthode, en prenant l’exemple d’Apple.

  • Etape 1 : la croissance des ventes

La clé de toute analyse financière réside dans la croissance des ventes. Sans ventes, il n’y a pas de bénéfices, de liquidités ou de dividendes. C’est pourquoi il est crucial de comprendre l’orientation à long terme de la croissance future du chiffre d’affaires. Pour cela, il est important de consulter les antécédents de l’entreprise en remontant au moins à dix ans en arrière pour avoir une vue d’ensemble.

En examinant les antécédents d’Apple, on constate que la croissance de ses ventes a été volatile, avec des années de croissance importante comme en 2021, et des années de baisse comme en 2016. Cette volatilité est liée au cycle de vie des produits vendus par Apple tels que les téléphones, les ordinateurs portables et les produits portables qui sont régulièrement mis à jour. Dans ce contexte, prendre une moyenne est la meilleure option. Sur les dix dernières années, la croissance des ventes d’Apple s’est élevée à 10,6 %, un chiffre encourageant.

Afin de mieux comprendre les moteurs de la croissance, il est possible de décomposer Apple en différentes divisions ou produits, et voir comment chacun d’entre eux s’est comporté au fil des ans. Cette analyse plus approfondie peut aider à se faire une idée plus précise des performances passées et à formuler une vision plus précise de l’avenir de l’entreprise.

Pour prévoir l’avenir de la croissance d’Apple, il est conseillé de se baser sur un point de référence, tel que la croissance économique mondiale. Une prévision raisonnable à long terme pour la croissance mondiale est d’environ 3 %. Il est donc crucial de décider si Apple connaîtra une croissance plus rapide ou plus lente que cette moyenne. Grâce à la croissance rapide de ses activités de services, environ 20 % de son chiffre d’affaires, il est possible de parier sur une croissance supérieure à la norme de croissance économique mondiale. Toutefois, la performance passée exceptionnelle de l’entreprise de 10 % sera difficile à répéter, il est donc raisonnable d’estimer que la croissance des ventes se situera entre 3 % et 10 %, soit environ 7 %.

  • Etape 2 : la croissance des bénéfices

Pour la deuxième étape, vous devez examiner la croissance des bénéfices et déterminer si elle dépassera votre prévision de croissance des ventes de 7 %. Vous pouvez commencer en examinant la croissance passée du bénéfice net, que vous pouvez diviser en bénéfice d’exploitation (EBIT) et bénéfice net. 

Pour faire croître l’EBIT plus rapidement que les ventes, Apple devrait ralentir la croissance des coûts pour augmenter les marges EBIT. Cependant, les marges bénéficiaires d’Apple n’ont pas progressé au cours des dix dernières années, ce qui pourrait rendre difficile l’augmentation des marges à l’avenir, surtout avec un ralentissement prévu de la croissance des ventes. Pour approfondir cette analyse, vous pouvez extraire le profil de marge de chaque produit ou secteur d’activité. Si vous ne pouvez pas obtenir ces informations, vous pouvez raisonnablement supposer que les marges resteront les mêmes à l’avenir. 

Pour la ligne du bénéfice net, vous devez tenir compte des intérêts et des impôts, mais à moins que ces coûts ne changent radicalement pour une autre raison, vous pouvez supposer que le bénéfice net augmentera au même rythme que l’EBIT. Ainsi, il est raisonnable de supposer que le bénéfice net d’Apple augmentera de 7 %.

  • Etape 3 : déterminer la part des bénéfices qui se transforme en liquidités

La troisième étape consiste à évaluer la capacité d’une entreprise à convertir ses bénéfices en liquidités. Les bénéfices ne se traduisent pas toujours par des liquidités, car l’entreprise peut devoir réinvestir dans l’entretien des machines ou dans d’autres projets. 

Pour déterminer la part des bénéfices convertie en liquidités, il faut examiner le ratio des flux de trésorerie disponibles d’une entreprise par rapport à son bénéfice net, qui peut être obtenu à partir du tableau des flux de trésorerie. Le flux de trésorerie disponible est le montant restant après les dépenses quotidiennes et les dépenses liées aux projets. Si les ventes augmentent plus rapidement que les paiements aux fournisseurs, le fonds de roulement négatif augmente et peut augmenter le flux de trésorerie disponible. Cependant, si les ventes diminuent, cela peut peser sur la trésorerie. 

Pour avoir une vue d’ensemble, il est possible de supposer que la conversion à 100 % se poursuivra, ce qui signifie que le flux de trésorerie disponible devrait croître au même rythme que le revenu net.

  • Etape 4 : examiner la solidité de l’entreprise

La question clé que vous devez vous poser est la suivante : l’entreprise est-elle financièrement stable ? En d’autres termes, vous devez vérifier si l’endettement de l’entreprise est suffisamment faible pour ne pas compromettre notre analyse de la croissance du flux de trésorerie disponible. Si l’endettement est trop élevé, l’entreprise pourrait être obligée d’utiliser la totalité de son flux de trésorerie disponible pour rembourser sa dette, plutôt que de récompenser les actionnaires par des dividendes ou des rachats d’actions. Dans le pire des cas, l’entreprise pourrait faire faillite.

Toutes les dettes ne se valent pas. Certaines entreprises (comme les industries stables avec des ventes prévisibles) peuvent – et doivent peut-être – utiliser l’emprunt pour financer leur croissance. Une règle empirique consiste à se méfier des niveaux d’endettement net (c’est-à-dire la dette moins les liquidités) supérieurs à 2,5 fois les bénéfices. Vous pouvez trouver l’endettement net dans le bilan de l’entreprise, où les dettes à long terme figurent au passif et les liquidités à l’actif.

Heureusement, l’endettement d’Apple n’est pas un souci. Avec une dette nette de 50 milliards de dollars, elle représente seulement la moitié de son bénéfice annuel. Apple dispose également d’un niveau élevé de liquidités, ce qui lui permettrait de rembourser sa dette rapidement si nécessaire.

  • Etape 5 : vérifier l’évaluation de l’entreprise

À la dernière étape de l’analyse, il convient de vérifier l’évaluation de l’entreprise en utilisant les multiples d’évaluation traditionnels tels que les ratios cours/bénéfice (P/E). Attention, pour les entreprises en croissance comme Apple, ces ratios peuvent être trompeurs. Pour cette raison, il est préférable d’utiliser une analyse de l’actualisation des flux de trésorerie pour estimer la valeur de l’entreprise. 

En utilisant cette méthode pour Apple, il s’avère que sa valeur actuelle est équivalente à une croissance de 5 % pour les dix prochaines années et de 2 % par la suite. Cependant, l’analyse précédente a permis de prévoir une croissance du flux de trésorerie disponible de 7 % pour Apple sur le long terme (dix ans), ce qui indique que le marché sous-évalue potentiellement l’entreprise. Par conséquent, il s’agit probablement d’une bonne opportunité d’investissement.

Soyons honnête, il y a de nombreuses possibilités d’erreur à chaque étape de cette analyse. Apple pourrait ne pas réaliser une croissance de 7 % de ses ventes comme prévu, ou les marges de l’entreprise pourraient diminuer si elle investissait massivement dans des technologies émergentes telles que l’intelligence artificielle (IA), ce qui pourrait augmenter les coûts quotidiens et avoir un impact sur la conversion du flux de trésorerie disponible. Par conséquent, l’augmentation du flux de trésorerie disponible de l’entreprise pourrait se limiter à 5 %, voire moins, comme le prévoit le marché. L’investissement, du moins en termes fondamentaux, relève davantage de l’art que de la science. Toutefois, grâce à ce cadre, vous disposerez d’une méthode plus scientifique, ou du moins méthodique, pour analyser une action. En suivant les différentes étapes d’analyse du compte de résultat, en faisant les arrêts nécessaires, vous devriez être en mesure d’aboutir à une conclusion sensée et bien documentée.

???? Immobilier : la baisse de l’immobilier se confirme

Les prix de l’immobilier ont finalement commencé à baisser en France, y compris dans les grandes villes, ce qui est une situation qui n’avait pas été observée depuis 2014. Cette tendance a été révélée par une étude récente de Meilleurs Agents et est partiellement expliquée par la hausse des taux d’intérêt. Cependant, certaines villes ne suivent pas cette tendance et restent stables. Explications. 

Selon la dernière étude de Meilleurs Agents, les prix de l’immobilier en France ont connu une baisse de 0,2% en deux mois, depuis le début de l’année 2023, une tendance qui n’avait pas été observée depuis 2014. Contrairement à ses pays voisins, le marché immobilier français avait jusqu’à présent résisté à plusieurs baisses significatives. Cette diminution des prix pourrait se poursuivre au cours des prochains mois et potentiellement s’accentuer d’ici la fin de l’année. La chute des prix de l’immobilier a débuté à Paris et s’est étendue à de nombreuses communes rurales. La capitale, qui était considérée comme une locomotive pour le marché immobilier, enregistre désormais une baisse de 0,4 %, tout comme les 10 plus grandes villes de France. Au cours des trois derniers mois, Lyon a enregistré une baisse de 3,5 %, tandis que Nantes a connu une baisse de 3,2 %. Les prix de l’immobilier à Toulouse et à Caen ont également diminué de 3,6 %. Meilleurs Agents souligne que février marque généralement la fin de la pause hivernale et le début de la saison immobilière de printemps, mais le nombre de prêts immobiliers a fortement diminué au cours des six derniers mois, selon les chiffres de la Banque de France.

La baisse des prix de l’immobilier en France s’explique en partie par une forte hausse des taux d’intérêt, qui ont entraîné une chute de 30% des prêts bancaires immobiliers par rapport à décembre 2021, réduisant ainsi la demande. Cependant, même si les prix de l’immobilier ont baissé, cela n’a pas pour autant augmenté le pouvoir d’achat des Français, car la baisse des prix n’est pas suffisamment importante (environ 0,2%) pour avoir un impact significatif. En effet, il faudrait que la baisse des prix se rapproche de 15% pour avoir un effet notable sur le pouvoir d’achat. De plus, le coût des crédits immobiliers augmente plus rapidement que la baisse des prix du marché. En outre, une autre raison de la baisse des prix est la valorisation à la baisse des passoires thermiques, en particulier à Paris.

Toutefois, il y a des villes en France qui ne suivent pas la tendance de baisse des prix de l’immobilier. Par exemple, Nice est la seule des onze plus grandes villes du pays à avoir enregistré une augmentation des prix en février, selon Dominique Vincenti de l’agence Domi Nice Immobilier. Toutefois, Marseille a connu une baisse de 0,4% des prix et Perpignan et Le Mans ont enregistré une hausse de 3,8%. Alors, faut-il se presser pour vendre son logement avant que les prix continuent de baisser ? La vente d’un bien immobilier ne doit pas être précipitée et doit être mûrement réfléchie, en prenant en compte différents facteurs tels que la situation personnelle de l’acheteur et la conjoncture économique. Il est également recommandé de faire appel à des professionnels de l’immobilier pour une estimation précise de la valeur du bien. En somme, pour répondre à cette question, je vous invite à une réflexion approfondie avant de prendre une décision de vente immobilière, en tenant compte des particularités du marché actuel et des perspectives à moyen terme. C’est toujours le bon moment pour acheter, pas toujours le bon pour vendre. 

???? Économie : qu’est-ce qu’une banque systémique ?

Le rachat par UBS de Credit Suisse, une banque trop grosse pour faire faillite, a remis sur le devant de la scène la difficulté à sauver des établissements dits «systémiques» en crise. Le Credit Suisse est une des 30 plus grandes banques systémiques, désignées comme « trop grosses pour faire faillite » par le Conseil de stabilité financière. D’autres banques européennes, comme BNP Paribas, Crédit Agricole, Société Générale et BPCE, ainsi que des banques américaines, britanniques et espagnoles, font également partie de cette liste. Le terme « too big to fail » a été utilisé pour la première fois en 1984, lorsque The Continental Illinois National Bank, l’une des plus grandes banques des États-Unis, a connu des difficultés financières. Le gouvernement américain a alors injecté 4,5 milliards de dollars via le FDIC (Federal Deposit Insurance Corporation), une agence gouvernementale indépendante, pour sauver cette banque. Cette intervention a été critiquée par Stewart Mc Kinney, membre du Congrès américain, qui a accusé le gouvernement d’avoir créé une nouvelle catégorie de banques « too big to fail ».

hebdo #24 - qu'est-ce qu'une banque systémique ?

Une banque systémique est donc une grande institution financière dont la défaillance pourrait avoir des conséquences graves sur l’ensemble du système financier, voire sur l’économie d’un pays ou d’une région entière. Les banques systémiques sont considérées comme « trop grandes pour faire faillite », car leurs activités sont si étendues et complexes que leur effondrement pourrait causer un effet domino et entraîner d’autres institutions financières, entreprises et ménages avec elle. C’est pourquoi les régulateurs financiers sont très attentifs à la surveillance et à la réglementation des activités des banques systémiques. Ils sont tenus de disposer de suffisamment de fonds propres pour résister aux chocs économiques et sont soumis à des exigences de liquidité plus strictes que les autres banques. Les banques systémiques sont également soumises à des tests de résistance réguliers pour évaluer leur capacité à résister à des scénarios économiques défavorables. En cas de difficultés financières, elles peuvent bénéficier de mesures de soutien exceptionnelles de la part des gouvernements et des banques centrales pour éviter leur effondrement et protéger la stabilité financière globale comme ce fut le cas avec le Crédit Suisse. 

La faillite de ces banques aurait des répercussions catastrophiques sur l’ensemble du système financier et l’économie réelle. Toutefois, selon Thierry Philipponnat de l’ONG Finance Watch, toutes les banques sont aujourd’hui devenues systémiques, ce qui oblige les autorités à intervenir de manière généralisée en cas de crise. Les récentes faillites de banques régionales aux États-Unis ont nécessité l’action des pouvoirs publics pour éviter la panique, avec un succès mitigé. Le rachat du Credit Suisse par UBS était une solution évidente pour les autorités, mais cette consolidation peut multiplier l’aléa moral où les dirigeants et investisseurs ne sont pas incités à adopter une gestion rigoureuse. Enfin, les critiques soulignent également que toutes les mesures mises en place depuis 2008 ne pèsent pas bien lourd face à une crise de confiance. Une crise de Credit Suisse a été provoquée dans un contexte de fragilité de certains acteurs américains, avec lesquels l’établissement suisse n’avait pourtant aucun lien. 

???? Les annonces d’entreprises à noter de la semaine :

  • BNP Paribas a sondé les autorités néerlandaises cet été en vue d’un rachat d’ABN Amro
  • Orange envisage de supprimer 700 emplois dans sa division entreprises, selon Les Echos.
  • Stellantis investit 200 M€ pour produire des Fiat en Algérie.
  • Air France-KLM a remboursé 75% de l’aide à la recapitalisation accordée par l’Etat français.
  • Volkswagen espère produire une petite électrique à moins de 20 000 EUR.
  • OVH a lancé son premier centre de données à Mumbai, en Inde, dans le cadre de son expansion dans la région Asie-Pacifique.
  • Amazon a annoncé la suppression de 9.000 emplois supplémentaires.
  • Deliveroo bloque une application tierce permettant aux livreurs de comparer leurs revenus entre les différentes plateformes.
  • Crédit Agricole Consumer Finance va acquérir, avec Stellantis, les activités d’ALD et LeasePlan dans six pays européens.
  • Wendel lance une émission d’environ 750 M€ d’obligations échangeables en actions ordinaires existantes de Bureau Veritas à échéance 2026.
  • Zuckerberg et Meta Platforms sont poursuivis pour ne pas avoir lutté contre la traite des êtres humains et l’exploitation des enfants.
  • Alphabet lance l’accès public à Bard, un rival de ChatGPT. L’IA n’est pas encore disponible en France
  • Carrefour veut prolonger le mandat d’Alexandre Bompard jusqu’en 2026.
  • Le gouvernement français veut raccourcir la durée des concessions autoroutières (concerne Vinci, Eiffage, Abertis).
  • Logitech supprime 300 postes dans un contexte de licenciements massifs dans le secteur de la technologie.
  • STMicroelectronics versera un dividende de 0,24 USD par action au titre de 2022.
  • Accenture va procéder à la suppression de 19 000 emplois.

Source : Les Echos, Investir, Investing, ZoneBourse, Reuters, ABC Bourse

  • https://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/les-banques-systemiques-mastodontes-aux-pieds-dargile/639906
  • https://www.lejdd.fr/economie/crise-bancaire-too-big-fail-de-quoi-parle-t-133719
  • https://www.challenges.fr/finance-et-marche/banques/credit-suisse-le-rachat-incomprehensible-dune-banque-sulfureuse-juge-michel-santi_849925
  • https://www.boursorama.com/patrimoine/actualites/la-baisse-de-l-immobilier-se-confirme-1a13332c922531bc8bfb8ee6767ae6b5
  • https://www.lefigaro.fr/conjoncture/immobilier-en-province-cette-fois-la-baisse-est-presque-generale-20230324
  • https://www.lemonde.fr/argent/article/2023/03/24/immobilier-faut-il-se-presser-pour-vendre-son-logement_6166779_1657007.html
  • https://www.boursorama.com/cours/analyses/AAPL/
  • https://www.lynxbroker.fr/bourse/cours-bourse/actions/action-apple/#:~:text=Le%20cours%20de%20l’action%20Apple%20a%20enregistr%C3%A9%20une%20solide,299%2C15%20%24%20par%20action.
  • https://www.strategie-bourse.com/action-apple.html
  • https://fr.stock-analysis-on.net/NASDAQ/Entreprise/Apple-Inc
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Fondé par un ancien de Rothschild & Co à Paris, Twenty-Six Patrimoine propose une approche 360 de la gestion de ses patrimoine à ses clients. Moderne, ingénieux et hybride, entre un cabinet traditionnel et un family office, notre volonté est de...
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